Quelques phrases jugées essentielles par l'auteur...
Comprendre la démarche d'un écrivain indépendant...
Le livre qui va vous faire comprendre et aimer l'auto-édition...
Table et liens pour achat (2 euros 99 pour 138 pages) --> Auto-édition, j'écris ton nom.
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Le champ du possible s'est ouvert avec le numérique pour l'auto-édition, donc pour les écrivains.
L'auto-édition, c'est la possibilité de la liberté pour l'écrivain, contre laquelle les industriels naturellement se battent.
Quand on lui demande de l'argent, un écrivain devrait toujours se méfier... mais... il a envie de croire qu'enfin c'est son jour de chance...
Nous essayons de mettre en place une économie saine du livre numérique. Où la qualité serait visible. Donc nous devons rester vigilant à toute dérive.
Devrais-je, comme tant d’autres qui partagent mes analyses mais préfèrent le taire publiquement, mettre de côté un certain idéalisme et "profiter du système" ?
La librairie, le lieu unique ? Le lieu inique où seuls sont disponibles les livres des inféodés aux grands distributeurs. Censure en douceur.
« Il faut bien semer, même après une mauvaise moisson » écrit Sénèque dans sa quatre-vingt-unième lettre à Lucilius.
Kader Terns avait raison dès son premier message : « Tu sais écrire mais tu ne sais pas te vendre. »
Quel livre me permettra d'obtenir une visibilité indispensable et suffisante ?
Une vue a court terme m'aurait convaincu de me soumettre à l'édition traditionnelle... si la liberté était un mot vide...
« Tout dépend de la maison d’édition dans laquelle vous êtes édité, et du travail fait en amont par les attachés de presse auprès des journalistes et des jurés littéraires. » (Alain Beuve-Méry)
Un jour, il y aura un déclic ! Un jour cette indépendance sera mise en valeur... quand je serai parvenu à être suffisamment voyant qu'ils [les journalistes] ne pourront plus faire semblant de ne pas me voir.
Nous sommes une minorité. C'est celle-là, lectrices, lecteurs, qui doit vous intéresser. Séparez le bon grain des livres à vomir.
J’ai des difficultés à ne pas sourire quand je lis « mon éditeur : lulu »... Quand même, dans la littérature, les mots ont un sens... Tu vas où, chez lulu...
Il suffit d’imposer des contraintes économiques pour exclure, inutile de censurer. [distribution des livres en papier ; indépendants absents des librairies]
« L'écrivain ne naît qu'au travers du regard de l'éditeur », on croirait lire une dinde en campagne pour la présidence du SNE. Mais il s'agit de propos de notre ministre !
Aucune pétition d'indignation d'auteurs chez Plon suite à la publication le 27 juin 2013 d'un livre de Bernard Tapie.
Du pulp ? De la pulpe de littérature alors que le vrai jus est ailleurs ? Un livre qui prend les lecteurs pour des idiots ?
Nous construisons tous notre petite prison, avec de petites lâchetés, des facilités, de l'aquabonisme, une crainte du futur (comme s'il nous appartenait !)
Internet est tombé entre les mains des grands hypnotiseurs qui en font leur beurre et fortifient leur prédominance.
Il suffit de réunir des notables qui pensent à peu près la même chose pour prétendre s’être appuyé sur des experts et ainsi marginaliser les gens qui osent ne pas penser comme le chef.
[Autrement : ] Il suffit de réunir des gens qui ont les mêmes intérêts, d’ignorer les autres, pour prétendre s’être concerté.
Que vous achetiez sur l'un de mes sites, sur Immateriel, Itunes, La Fnac ou Amazon, l'essentiel est bien l'achat !
Commissions et consultations, c’est ainsi qu’on noie le poisson, passe discrètement ce que l'on souhaite imposer.
« Cette gauche des nantis qui tient les médias et l’édition. A cette gauche qui prétend savoir ce que c’est que la littérature, puisque la littérature, c’est forcément elle ! »
[Si je pose la question : qui a écrit "cette gauche des nantis qui tient les médias et l’édition" sur Twitter, qui répondra, réagira... ce sera fait...]
L'éditeur d'Aurélie Filippetti, Jean-Marc Roberts, interview publiée le 8 mars 2013, soit 17 jours avant a mort du patron de Stock (groupe Lagardère).
« Il n'est pas très fier de la manière dont, chaque automne, il magouille pour que ses auteurs obtiennent des prix »
Jérôme Garcin résumant le livre "François-Marie" de Jean-Marc Roberts, publié le 6 mai 2011 chez Gallimard.
Sur Aurélie Filippetti, lire YA BASTA Aurélie Filippetti !...
Mon obstination finira par être remarquée ? Oui, il faut être remarqué pour être lu !
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- 09 juillet 2013 à 19 heures
Auteur jean-daniel Commentaire OK : énorme, que ce soit l'éditeur Aurélie Filippetti qui déclara cette gauche des nantis qui tient les médias et l’édition et elle ose encore frimer "mon éditeur, blablabla..."
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